Pour travailler dans les écoles, la plupart des commissions scolaires exigent une vérification des antécédants judiciaires.

Cliquez ici Antecedant_judiciaire_Ville_de_L_vis.PDF

Pour enseigner, la plupart des commissions scolaires exigent la passation d'un test de français reconnu. Pour ma part, j'ai réussi deux tests de français. Celui de la télé-université (SEL) et celui de la Commission Scolaire des Navigateurs.

Test SEL, cliquez ici Evaluation_francais_SEL.PDF

Test de la Commission Scolaire des Navigateurs, cliquez ici Evaluation_francais_CS_Navigateurs.PDF

   Une autre trace de mon passage à l'université a été souligné par un prix qui m'a été remis le 12 novembre 2005 lors de la collation des grades. Lors de cette cérémonie, j'ai reçu des mains du recteur le prix du Lieutenant-gouverneur.

   "Il s'agit d'une reconnaissance qui souligne, bien sûr, la réussite scolaire du récipiendaire, mais surtout l'engagement personnel, social et communautaire. Par ce geste honorifique, le Lieutenant-gouverneur désire reconnaître les mérites de cette nouvelle génération de débrouillards, d'altruistes et de jeunes penseurs positifs qui constituent la relève."

Pour voir le prix, cliquez ici Prix_du_Lieutenant_gouverneur.PDF

Campus de l’UQAR à Lévis

12 novembre 2005

Nicolas Émond reçoit le prix du Lieutenant-gouverneur

Lors de la cérémonie de Collation des grades au Campus de l’UQAR à Lévis, M. Nicolas Émond, de Québec, diplômé au Baccalauréat en éducation préscolaire et en enseignement primaire, a reçu le Prix du Lieutenant-gouverneur.

Mme Carole Théberge, députée de Lévis et ministre de la Famille, des Aînés et de la Condition féminine, a remis à M. Émond ce prix qui souligne la réussite académique du récipiendaire, mais surtout son engagement personnel, social et communautaire. Le prix du Lieutenant-gouverneur revêt la forme d'un certificat personnalisé, signé par le Lieutenant-gouverneur, l'honorable Lise Thibault.

Après ses études en sciences humaines au Cégep de Limoilou, Nicolas Émond est arrivé au Campus de l’UQAR à Lévis où, pendant trois ans, il a su conjuguer études et engagement communautaire d’une manière exceptionnelle.

Son engagement a grandement contribué à l’avancement de l’Association générale des étudiants du Campus de Lévis (AGECALE). Après avoir occupé le poste de coordonnateur de la vie étudiante et des activités sportives, il devient, en 2004, coordonnateur aux affaires modulaires et à la vie étudiante et il se fixe comme mandat de doter l’AGEUQAR d’une nouvelle structure organisationnelle permettant une répartition différente des pouvoirs entre les deux campus de l’UQAR, tant sur le plan décisionnel que financier. En janvier 2005, à titre de président de l’AGECALE, il lancera un projet visant à supporter financièrement le Centre d’aide à la réussite du Campus de Lévis, ce qui permit d’augmenter la disponibilité des personnes ressources.

Nicolas Émond a aussi été un acteur important dans le développement des activités sociales, culturelles et sportives du Campus. Il a organisé bon nombre d’activités comme des voyages à New-York, des sorties à la cabane à sucre, des journées de ski, des sorties de groupe pour des spectacles ou des événements sportifs. Il s’est aussi impliqué bénévolement comme tuteur auprès d’un élève du primaire.

Nicolas Émond est considéré par ses pairs comme un leader naturel. Le Prix du Lieutenant-gouverneur vient souligner sa généreuse contribution.

  Pendant mes quatre années passées à l'université, j'ai travaillé très fort pour développer mes aptitudes à enseigner. Le résultat de tous ces efforts est, qu'aujourd'hui, j'estime posséder les compétences nécessaires pour amener une classe à bon port. Je vous invite donc à parcourir l'une des traces de tous ces efforts, mon relevé universitaire.

Cliquez ici Releve_universitaire_1.PDF  Releve_universitaire_2.PDF

Jean-Claude Huot, superviseur de stage et directeur de module, UQAR Campus de Lévis
Cliquez ici Lettre_de_reference_Jean_Claude_Huot.PDF

Gérald Charron, enseignant associé du stage 4, École du Grand-Fleuve, Lévis (Qc)
Cliquez ici Lettre_de_reference_Gerald_Charron.PDF

Philippe X. Sauvé, enseignant, St. Thomas The Apostle School, Renfrew (On)
Cliquez ici Lettre_de_reference_Renfrew_1.PDF  Lettre_de_reference_Renfrew_2.PDF

David Katzman, directeur, King George Community School, Saskatoon, (Sak)
Cliquez ici Lettre_de_reference_Saskatoon.PDF

   De nos jours, il est très rare qu’un homme s’intéresse au joyeux monde du primaire. En effet, très peu choisissent cette voie. Alors, pourquoi est-ce que j’ai choisi d’enseigner à des jeunes de moins de 12 ans ? C’est à cette question que je vais tenter de répondre, le plus simplement possible.

   Tout d’abord, j’ai le souvenir d’avoir toujours voulu être un « prof ». Bien sûr, la première réponse que j’ai donnée à quelqu’un qui me demandait ce que je voulais faire plus tard a été : un joueur de hockey, mais, rapidement, cette réponse est devenue : un professeur. J’ai de la difficulté à comprendre pourquoi. Très tôt, j’ai eu un intérêt marqué pour cette profession. Par contre, le fait que j’aime travailler avec des individus, que j’aime être au cœur de l’action et que je sois une personne très patiente expliquent certainement pourquoi j'ai choisi cette profession.

   En outre, même si j’ai toujours su que je voulais devenir enseignant, c’est une expérience de voyage qui m’a aidé à clarifier ce que j’allais enseigner plus tard. Effectivement, dans le cadre du programme Katimavik, j’ai eu la chance de travailler dans trois écoles primaires et, par surcroît, d’être en contact avec trois hommes enseignants qui m’ont beaucoup inspiré. Le tout a commencé dans une petite école catholique à Renfrew en Ontario. À cet endroit, j’ai travaillé dans une classe de niveaux sept et huit pendant deux mois et demi avec un homme d’origine québécoise. Ensuite, j’ai eu la chance de travailler dans une petite école à St-Isidore au Nouveau-Brunswick. À cette occasion, j’ai enseigné le jeu d’échecs aux meilleurs joueurs de chaque niveau et, en plus, j’ai participé au tournoi régional en tant qu’arbitre. Finalement, j’ai travaillé dans une école défavorisée de la ville de Saskatoon pendant un peu moins de deux mois. Cette école m’a permis d’être en contact avec des jeunes autochtones provenant d’un milieu économiquement pauvre. De plus, j’ai profité de l’ouverture d’esprit du milieu pour implanter un club d’échec où les élèves pouvaient venir manger et profiter d’une ambiance reposante. En somme, ces trois expériences de travail ont été d’une importance majeure dans ma décision d’enseigner au primaire.

   En conclusion, mon choix de carrière s’explique par mes expériences personnelles et par ma personnalité. Ce n’est donc pas un hasard si aujourd'hui, je suis un prof !

Pour accéder à mon C.V.                                                                  

cliquez ici C.V._Nicolas_Emond1.doc

Pour accéder à mon brevet d'enseignement
cliquez ici Brevet_d_enseignement.PDF

Pour accéder à mon diplôme universitaire
cliquez ici Diplome_universitaire1.PDF

Sur le point de commencer ma carrière en enseignement, j'ai plusieurs rêves qui m'habitent. J'ai décidé de les partager avec vous, de cette façon vous aurez une petite idée des projets que je veux réaliser tout au long de ma carrière.

• Organiser avec mes élèves des voyages qui leur permetteront de découvrir du pays.

• Développer leurs habiletés à résoudre des problèmes en mathématique en enseignant le jeu d'échecs et organiser un tournoi avec eux.

• Enseigner en faisant bouger mes élèves dans le gymnase de l'école.

• Utiliser les nombreux avantages de l'internet dans ma gestion de classe (site web pour la classe, communication avec une adresse courriel).

• Impliquer des personnes du milieu pour enrichir mon enseignement (personnes âgées, professionnels).

• Travailler en team-teaching avec les autres enseignants.